L’éjaculation précoce n’est pas une maladie en soi; c’est un trouble qui ne devient problématique que s’il est une source de gêne, d’inconfort ou de détresse pour la personne qui s’en plaint ou pour sa partenaire.
Ainsi, les conséquences psychologiques de l’éjaculation précoce peuvent être très négatives, pour le sujet comme pour le couple. Les hommes qui en souffrent peuvent développer des symptômes de dépression, d’anxiété, voire se replier sur eux-mêmes en évitant toute relation amoureuse ou sexuelle.
C’est pourquoi il est important d’en parler, d’autant que des solutions existent, qu’elles soient médicales ou non.
Les hommes ne sont pas seuls…Selon La Société Internationale de Médecine Sexuelle, cette problématique affecte entre 5-30%* des hommes en Amérique du Nord et ce, plus souvent durant leurs années productives.
* Variabilité due aux différentes définitions utilisées dans les études.